Les absences et les annulations de dernière minute sont un problème bien connu et entraînent des coûts élevés pour le restaurateur. 

Le restaurateur effectue ses achats, ses préparatifs et met du personnel à disposition après que le nombre de clients a été réservé et est attendu. Si une table est annulée à la dernière minute, le restaurateur perd non seulement le coût de la nourriture, mais tous les préparatifs n'ont servi à rien et les frais de personnel doivent être amortis sur moins de couvertures. 

Bien entendu, ce problème ne se limite pas à la Belgique. Au contraire, il s'agit d'un problème mondial. En moyenne, un restaurateur doit faire face à un no-show de 2 à 9 %, et le pourcentage d'annulations de dernière minute est plusieurs fois supérieur.

Une étude menée par KHN (Koninklijke horeca Nederland) a montré que 62 % des entrepreneurs du secteur de l'hôtellerie et de la restauration ont constaté une augmentation du nombre de no-shows au cours de l'année écoulée. 

Notre marché est défini par les guides renommés Gault&Millau et Michelin. Ce sont principalement les restaurants hautement recommandés qui souffrent de difficultés financières en raison des tables vides, ce qui constitue un trou noir pour leurs revenus. 
Le chef étoilé néerlandais Joris Bijdendijk des restaurants Rijks témoigne qu'ils peuvent enregistrer jusqu'à 3 no-shows par jour, ce qui est une très mauvaise affaire sur le plan financier. (Posthumus). 

Des recherches menées en 2021 sur le no-show dans les restaurants en Grande-Bretagne révèlent qu'en moyenne 20 % des clients britanniques ne se présentent pas à leur réservation, ce qui équivaut à un coût estimé à 16 milliards de dollars, soit 18 milliards d'euros (Barrie, 2021) (Superb, sd). 

Ce phénomène est également courant en France. Antoine Girard a mené une étude auprès d'un panel de 450 restaurants et a enregistré 36 000 no-shows. Pour certains restaurants, cela équivaut à 50 à 60 no-shows par mois. De plus, les chiffres ont augmenté de 13% en deux ans, sachant qu'en moyenne 1 no-show représente 3,2 places (Guestonline). Selon l'étude, cette augmentation s'explique par un changement dans les habitudes de consommation des clients. La réservation est très simple et ne prend que quelques secondes, pour être sûr d'avoir une bonne table, les clients réservent aujourd'hui plusieurs tables dans différents restaurants et font leur choix à la dernière minute (Superb, sd). 

De nombreuses plateformes de réservation en ligne fonctionnent avec un prépaiement, une garantie par carte de crédit et des listes d'attente, mais la recherche et l'expérience pratique montrent que ce n'est pas la solution lorsqu'une annulation de dernière minute ou une non-présentation se produit. La table reste vide. 

Nos recherches et notre expérience ont montré qu'il existait un réel besoin de solution au problème important et coûteux des tables vides en raison d'une annulation de dernière minute ou d'une non-présentation.

Après avoir étudié le marché, nous n'avons pas trouvé de concept qui réunisse le groupe cible des gourmets et des restaurants hautement recommandés, et certainement pas de la même manière que nous le faisons.

Nous avons l'avantage d'être les premiers sur le marché et nous n'avons pas l'intention de le céder !

Nous définissons notre groupe cible de restaurants comme des restaurants hautement recommandés. Il s'agit de restaurants qui ne désemplissent pas, où il faut réserver des mois à l'avance et où l'on peut déguster un bon déjeuner et un délicieux dîner pour un bon rapport qualité-prix.

Vous trouverez presque toujours ces restaurants dans des guides renommés tels que Gault&Millau, Michelin, World 50 Best, ......

En Flandre, nous avons le marché. À Yeat, vous trouverez 100 % d'établissements 3 étoiles, 98 % d'établissements 2 étoiles et 94 % d'établissements 1 étoile. En Belgique, nous avons un public cible de 1.200 restaurants.
En Europe, le compteur s'élève à 20.000 clients potentiels et au niveau mondial, il y a un potentiel de 250.000 restaurants.