L’entreprise maintient une comptabilité annuelle, se clôturant au 31 décembre.

 

Après 2 ans d’existence, l’entreprise se consacre encore au développement de ses médicaments, et ne génère pas de revenus, à l’exception de quelques revenus marginaux basés sur le partage de connaissances R&D.

 

Les comptes annuels montrent une perte de l’ordre de ~204K€ en 2023, contre ~135K€ en 2022, soit un montant global depuis la création de l’entreprise de ~339K€.

 

En 2023, les dépenses ont portée sur ~142K€, contre 134K€ en 2022. Ces montants couvrent les rémunérations des dirigeants, les sous-traitants et les droits de propriété intellectuelle.

 

 

Ces aides financières régionales ne couvrent pas l’entièreté des budgets de recherche et des investissements privés restent nécessaires pour financer le complément.

 

Un montant de ~830K€ est estimé pour couvrir l’ensemble des besoins opérationnels de l’entreprise durant 2 ans.

 

 

 

Il faut rappeler ici que l’entreprise n’entreprend pas de dépenses sans les avoir préalablement financées, ce qui lui permet aujourd’hui de ne pas avoir de dette envers ses fournisseurs, ni de dette fiscale envers l’état.

 

Depuis sa création, l’entreprise a procédé à 3 augmentations de capital et a ainsi acté quelques 615.300€ de fonds en provenance d’investisseurs privés, dont 115.300€ en provenance des investisseurs de SPREDS.

 

La distribution actuelle des actions (5,895,300 actions de 1 euros) est la suivante :

Co-fondateur 1 : 44,86%

Co-fondateur 2 : 44,86%

Investisseurs privés : 8,35%

Investisseurs SPREDS : 1,92%

 

 

Les fonds récoltés par la campagne SPREDS seront alloués aux coûts fixes de l’entreprise, à raison de 50%, le reste étant consacré aux dépenses des programmes de recherche.

 

 

 

Tous les actionnaires de YNIOS PHARMA ont les mêmes droits. Il est anticipé que les résultats des études débutées en 2024 permettront de générer des revenus de licences avec des sociétés pharmaceutiques dès les années suivantes. Ces revenus sont, à l’heure actuelle, impossible à quantifier, mais si les standards de l’industrie sont respectés, il pourrait s’agir d’un montant forfaitaire (lump-sum) de plusieurs dizaines de millions d’euros, suivi par des royalties sur la durée du brevet couvrant le(s) médicament(s).

 

Lorsque l’entreprise aura des revenus et des bénéfices, elle distribuera des dividendes. De plus, elle proposera aux actionnaires un rachat de leurs actions, de manière périodique, suivant une valorisation annuelle des actions conduite par un organisme indépendant.